Mon nom n'a plus de sens
Le soleil est si loin, voilé,
Je n'ai cessée de pleurer depuis que tu t'en est allée,
Ma vie a t-elle encore un sens ?
Rien ne me plait, je veux te voir
Le monde est un lieu tellement isolé,
L'avenir est aussi sombre que les larmes que j'ai versées,
La solitude m'a tant laissée choir.
Tu as pleurée quand je t'ai suppliée d'écouter
Tes terres sont si loin depuis que tu t'en est allée,
J'aimerais sourire, mais je pleure des souvenirs que j'ai de toi,
La solitude ne me laisse pas de choix.
Tu as pleurée quand je t'ai suppliée d'écouter,
Je n'ai
Toi qui n'es pas moi, toi qui es autre,
Vois-tu venir le dernier acte de ton règne ?
Je te chasserais de mon paradis, regarde ton déclin,
Je ne serais pas reposé avant la fin.
Pourquoi n'ai-je pas le droit de te chasser ?
Tu es chez moi, voleur.
Tu ferais mieux de t'échapper.
Tu es chez moi, violeur.
Car je te rendrais la vie impossible,
Tu es chez moi, inférieur.
Ta présence ici est inadmissible,
Et ta simple vue m'écure.
N'approche pas ma famille, ne les attaque pas,
Je n'ai rien contre toi, mais pars d'ici.
Pourquoi ne comprends-tu pas,
Que nous ne mangeons pas les gens ici ?
Prie to
Et pourtant, il pleut... by TheQuetzalcoalt, literature
Literature
Et pourtant, il pleut...
La journée était parfaite,
Juste une tâche d'ombre pour l'attrister.
« Chère amie, oh tiens toi prête,
Chère amie, à me prendre dans tes bras décharnés ».
Elle l'emmène car elle l'a frappé a la tête,
Mais il ne veut pas l'accompagner,
Andromède le lui a déconseillé.
La journée était parfaite.
Et pourtant, il pleut.
Elle est seule, sur la petite route de sa vie, conduisant à une vitesse qui dépasse l'entendement. J'ai envie de lui crier : « Stop, ralentis. Regarde le paysage autour de toi, n'est-il pas beau ? Regarde cette jeune fille sur le bord de la route, n'est-elle pas là pour te voir, te parler ? Regardes moi, tu sais, je t'aime. ». Mais son cheminement est trop rapide et elle n'entend pas mon âme qui hurle de la voir partir.
J'ai vue fleurir plus de roses que j'en ai vue faner, mais trop de vies se sont éteintes pour que je n'allume pas la mienne. Brule, ô le diamant fou, brule.
Et elle ne sait pas ce qui
La pluie tombe encore,
J'ai pourtant enterrée ma mère
Mes regrets mes doutes et mes peines,
Mais elle tombe, toujours plus fort
Faisant de ce pétrin un calvaire.
Je t'en prie libère moi de mes chaines.
Ma vie est un mensonge odieux.
La Lune s'est masquée, me plongeant dans le noir
Devant la réalité je pleure de la revoir.
Et maintenant, il pleut.
Le vent souffle mais rien ne change,
Je cherche mon chemin dans cette dense forêt,
Assaillie par ces vielles branches pourries.
Ils haïssent toujours cet être étrange,
Et même ses proches ne comprennent pas ce qu'il est.
Et il
Quand je repense à un jour d'été,
Je me souviens seulement qu'il tourne au gris,
Je me rappelle le soleil et son mépris,
Mais pas de la dernière fois où je l'ai vu briller.
Maman, je n'ai pas voulut te faire pleurer
Mais vois-tu, comme toi, il y a des choses que je ne peux accepter,
Je n'aime pas la vie ni le coup qu'elle m'assène
Et d'instinct je veux vivre, mais j'ai besoin de toi.
Je voudrais hurler et entendre ta voix
Oh maman, les jours qui passent me donner de la peine.
Pendant toute ma jeunesse on m'a appris à être un homme,
J'ai bien essayé, mais je n'ai jamais voulut appren
Je veux te retrouver,
Quitter cette terre et m'envoler,
Partir loin de ce monde de pêchers.
Les rêves sont de si lourds fardeaux,
Car s'ils m'accordent de te revoir,
Ils me tirent mes derniers sanglots.
Je sais qu'il ne s'agit que de chimères,
Mais j'aimerais tant te revoir, une fois encore,
Mon ange emmènes moi loin de cette terre,
rends moi libre et mènes moi vers la mort.
J'attendrais de te retrouver,
Seul et triste, comme auparavant,
Je vivrais, attendant ce jour,
Oh, tu me manques tellement.
Mon nom n'a plus de sens
Le soleil est si loin, voilé,
Je n'ai cessée de pleurer depuis que tu t'en est allée,
Ma vie a t-elle encore un sens ?
Rien ne me plait, je veux te voir
Le monde est un lieu tellement isolé,
L'avenir est aussi sombre que les larmes que j'ai versées,
La solitude m'a tant laissée choir.
Tu as pleurée quand je t'ai suppliée d'écouter
Tes terres sont si loin depuis que tu t'en est allée,
J'aimerais sourire, mais je pleure des souvenirs que j'ai de toi,
La solitude ne me laisse pas de choix.
Tu as pleurée quand je t'ai suppliée d'écouter,
Je n'ai
Toi qui n'es pas moi, toi qui es autre,
Vois-tu venir le dernier acte de ton règne ?
Je te chasserais de mon paradis, regarde ton déclin,
Je ne serais pas reposé avant la fin.
Pourquoi n'ai-je pas le droit de te chasser ?
Tu es chez moi, voleur.
Tu ferais mieux de t'échapper.
Tu es chez moi, violeur.
Car je te rendrais la vie impossible,
Tu es chez moi, inférieur.
Ta présence ici est inadmissible,
Et ta simple vue m'écure.
N'approche pas ma famille, ne les attaque pas,
Je n'ai rien contre toi, mais pars d'ici.
Pourquoi ne comprends-tu pas,
Que nous ne mangeons pas les gens ici ?
Prie to
Et pourtant, il pleut... by TheQuetzalcoalt, literature
Literature
Et pourtant, il pleut...
La journée était parfaite,
Juste une tâche d'ombre pour l'attrister.
« Chère amie, oh tiens toi prête,
Chère amie, à me prendre dans tes bras décharnés ».
Elle l'emmène car elle l'a frappé a la tête,
Mais il ne veut pas l'accompagner,
Andromède le lui a déconseillé.
La journée était parfaite.
Et pourtant, il pleut.
Elle est seule, sur la petite route de sa vie, conduisant à une vitesse qui dépasse l'entendement. J'ai envie de lui crier : « Stop, ralentis. Regarde le paysage autour de toi, n'est-il pas beau ? Regarde cette jeune fille sur le bord de la route, n'est-elle pas là pour te voir, te parler ? Regardes moi, tu sais, je t'aime. ». Mais son cheminement est trop rapide et elle n'entend pas mon âme qui hurle de la voir partir.
J'ai vue fleurir plus de roses que j'en ai vue faner, mais trop de vies se sont éteintes pour que je n'allume pas la mienne. Brule, ô le diamant fou, brule.
Et elle ne sait pas ce qui
La pluie tombe encore,
J'ai pourtant enterrée ma mère
Mes regrets mes doutes et mes peines,
Mais elle tombe, toujours plus fort
Faisant de ce pétrin un calvaire.
Je t'en prie libère moi de mes chaines.
Ma vie est un mensonge odieux.
La Lune s'est masquée, me plongeant dans le noir
Devant la réalité je pleure de la revoir.
Et maintenant, il pleut.
Le vent souffle mais rien ne change,
Je cherche mon chemin dans cette dense forêt,
Assaillie par ces vielles branches pourries.
Ils haïssent toujours cet être étrange,
Et même ses proches ne comprennent pas ce qu'il est.
Et il
Quand je repense à un jour d'été,
Je me souviens seulement qu'il tourne au gris,
Je me rappelle le soleil et son mépris,
Mais pas de la dernière fois où je l'ai vu briller.
Maman, je n'ai pas voulut te faire pleurer
Mais vois-tu, comme toi, il y a des choses que je ne peux accepter,
Je n'aime pas la vie ni le coup qu'elle m'assène
Et d'instinct je veux vivre, mais j'ai besoin de toi.
Je voudrais hurler et entendre ta voix
Oh maman, les jours qui passent me donner de la peine.
Pendant toute ma jeunesse on m'a appris à être un homme,
J'ai bien essayé, mais je n'ai jamais voulut appren
Je veux te retrouver,
Quitter cette terre et m'envoler,
Partir loin de ce monde de pêchers.
Les rêves sont de si lourds fardeaux,
Car s'ils m'accordent de te revoir,
Ils me tirent mes derniers sanglots.
Je sais qu'il ne s'agit que de chimères,
Mais j'aimerais tant te revoir, une fois encore,
Mon ange emmènes moi loin de cette terre,
rends moi libre et mènes moi vers la mort.
J'attendrais de te retrouver,
Seul et triste, comme auparavant,
Je vivrais, attendant ce jour,
Oh, tu me manques tellement.